Merci à Özgül Demiralp pour cet article à lire sur le site des Missives !
Extrait :
Quelle que soit la raison, esthétique ou spirituelle, il y a un avant et un après le passage sous les aiguilles. Dans la préface du livre, le sociologue Philipe Liotard explique que le tatouage élabore « une symbolique de soi ». C’est une transformation du corps qu’on choisit et qu’on maîtrise. L’encre a dès lors un impact identitaire, et permet de marquer des étapes importantes de sa vie en lien avec l’amour, la maternité, la mort, la maladie ou la joie. La constante se trouve dans le fait de « s’aimer tatouée ».